
Les cas du député LFI Adrien Quatennens, dont l’épouse a déposé une main courante pour signaler des violences, et de Julien Bayou, en retrait de la coprésidence du groupe écologiste à l’Assemblée après la saisie par son ex-compagne de la Cellule d’EELV sur le harcèlement et les violences sexuelles et sexistes, reposent la question de ce que font les organisations de gauche contre ces violences.