Je l’avais déjà écrit à l’époque même de la « crise » : il s’agissait bien de faire les poches des pauvres, c’était une guerre des classes, la nécessité pour les plus riches de se refaire la pomme sur le dos de tous les autres : https://blog.monolecte.fr/2008/10/09/ceci-nest-pas-une-crise/